C’est fait, Erling Haaland sera sauf surprise à Manchester City l’été prochain. Et à cet âge-là, tu te dis “c’est bon, tu mérites de signer”, alors qu’en fait, pas du tout. Même si cet avantage psychologique opère à un niveau infra conscient, il ne doit pas être ignoré. Le mythique joueur des Reds, et actuel entraîneur des Lions, a l’occasion d’offrir le titre à son ancienne équipe s’il bat les Cityzens cet après-midi. Ainsi, vous pourrez opter à titre d’exemple pour la monture DB 7050. Un style contemporain et audacieux. En 1910, le club a obtenu le titre de champion du district Est. Au terme d’un dernier multiplex aux nombreux rebondissements, Manchester City s’est fait très peur face à Aston Villa, avant de tout renverser en quelques minutes pour s’offrir le titre de champion d’Angleterre. FM : Les New York Red Bulls sont ensuite venus aux nouvelles pour vous recruter en 2016 ? 77′ Henry Kessler (New England) reçoit un carton jaune pour jeu dangereux.
86′ Henry Kessler (New England) se voit accorder un coup franc sur l’aile gauche. Une publication partagée par New York Red Bulls (@newyorkredbulls) le 20 Déc. Comment s’est déroulé ce passage à la Rider University, dans le New Jersey, avec les Rider Broncs ? FM : Avant cette longue absence et ce passage aux Etats-Unis, le chemin a en tout cas été long et semé d’embûches. La première mi-temps a été équilibrée puis le Real a trouvé les solutions en deuxième, sans jamais trembler. 39′ Joseba Zaldua (Real Sociedad) se voit accorder un coup franc dans sa moitié de terrain. Faites-moi savoir quand le match est sur le point de se terminer, et je traverserai le terrain en faisant des jongles, quel que soit le score”. La logistique déployée pour chaque déplacement – la péninsule des Canaries se trouve à 1070 kilomètres, au plus proche, des côtes de l’Espagne métropolitaine – oblige ainsi l’équipe première et son staff à partir un jour avant le coup d’envoi dudit match. Mais finalement, ça ne l’a pas été plus que ça pour vous ? F.V : Les premiers mois ont été assez difficiles quand même. F.V : C’était super.
C’était assez compliqué et à la fin j’ai signé avec la réserve. Et puis la fin de mon contrat a coïncidé avec l’arrivée des investisseurs et de tous les gros joueurs qui ont suivi, donc c’était assez compliqué, surtout qu’on avait une belle génération. Mais trois buts et quatre passes décisives en quatorze matches, c’était plutôt pas mal pour quelqu’un qui vient juste d’arriver et qui découvre le championnat. C’était donc un mal pour un bien qu’ils ne me gardent pas et que je galère pendant un an avant d’arriver aux Etats-Unis. F.V : C’était une très grosse surprise, j’étais très content. Pour le deuxième match de la saison, on partait en CONCACAF Champions League et j’étais sur le banc. J’y suis allé, j’étais un peu trop juste apparemment, donc ils m’ont rebasculé sur des essais universitaires. L’entreprise FFFUSA m’a démarché en me disant “est-ce que ça t’intéresserait de faire des essais pour la MLS ?” et j’ai dit oui.
Ils ont ensuite perdu contre le FC Dallas lors de la finale de la Conférence Ouest, à un match avant de faire une autre apparition à la Coupe MLS. Après deux ans avec la réserve, j’ai ensuite signé mon premier contrat pour la MLS (en décembre 2017, ndlr). Avec des grands joueurs des deux côtés et des matchs électrisants, le Derby est redevenu énorme et le centre d’attention de la ville. Je pense que chaque centre de formation m’a apporté quelque chose, que ce soit sur le plan technique ou mental, mais le fait de partir de France et de venir ici étudier et jouer, ça m’a permis de m’épanouir un peu plus, de gagner en confiance et c’est à ce moment-là que mon niveau et mon football ont progressé.
Il me manquait quelque chose, on me l’avait déjà dit. Tu as donc plein de plans dans la tête et tu te dis que c’est fini et qu’il faudra attendre encore au moins un an. On a pris du plaisir en jouant au football et c’est pour ça que les performances s’en sont ressenties. La force du Bayern se traduit à travers ces années d’histoires et de performances sportives mais aussi à travers devenu des légendes : Franz Beckenbauer, Sepp Maier, Gerd Müller, Hans-Georg Schwarzenbeck, Paul Breitner, Karl-Heinz Rummenigge, Klaus Augenthaler, Lothar Matthäus, Oliver Kahn, Philipp Lahm … Désormais titulaire au Bayern Munich, le défenseur central doit cette ascension en partie au club autrichien. L’international autrichien de 24 ans s’est depuis imposé dans l’entrejeu allemand. FM : Comment avez-vous atterri de l’autre côté de l’Atlantique après des passages dans des centres de formation comme le PSG et l’AS Monaco ? F.V : En dehors du côté financier, la vie ici est très agréable.
D’un autre côté, en gardant le côté positif, ça m’a permis de ressortir plus fort mentalement et physiquement et j’ai hâte de retrouver les terrains pour montrer ce dont je suis capable et le fait que je n’ai rien perdu. Parce que ça m’a forgé un mental encore plus fort.
Un numéro 6 s’est alors blessé, il y avait d’autres 6 sur le banc et le coach m’a dit d’aller m’échauffer car j’allais entrer. Et quand je suis rentré de France en janvier, le coach de l’équipe première (à l’époque Jesse Marsch, ndlr) m’a appelé directement pour me dire qu’il me voulait absolument pour m’entraîner. J’avais eu des retours du coach Ranieri (entraîneur de l’ASM de 2012 à 2014, ndlr) de l’époque comme quoi il me manquait quelque chose. Je ne m’attendais pas à ce qu’ils me rappellent parce que j’avais fait un bon essai mais sans plus.